«Décolonisons les arts», «écologie décoloniale», «racisme systémique»… Autant de thèmes qui seront abordés à Grenoble lors du «mois décolonial», un événement qui promet d’ores et déjà de créer la polémique. La ville du maire Éric Piolle (EELV) accueillera, tout au long du mois de juin, les animations, tables rondes et formations en présence de Rokhaya Diallo et Taha Bouhafs
L’objectif ? «Déconstruire, au travers d’un geste artistique et d’une parole intellectuelle, l’imaginaire décolonial (…), cet héritage du passé qui constitue le socle d’un racisme et d’une violence encore trop prégnante dans notre société». La ville de Grenoble est partenaire de l’événement, comme l’affirment les organisateurs sur une page de collecte de dons.
La LICRA s’est quant à elle inquiétée de cette «dérive locale».
