#EnvoyeSpecial renouvelle l’expérience du #colis retourné avec Amazon et suit sa trajectoire jusqu’à Sered’, en Slovaquie. Pourquoi les envoyer aussi loin ?
— Envoyé spécial (@EnvoyeSpecial) June 10, 2021
En 2017, Amazon y a délocalisé son activité des retours-clients où la main d’œuvre est moins chère. pic.twitter.com/u0hXwGF8Fe
En France, le retour d’un #colis chez Amazon coûterait 2,45€. En Slovaquie, seulement 1,15€.
— Envoyé spécial (@EnvoyeSpecial) June 10, 2021
Interrogé sur le coût écologique de cette opération, Philippe Hémard, ex-vice président d’Amazon Europe répond : "Oui, mais pour 45% d’économie!" #EnvoyeSpecial pic.twitter.com/VdzJ12n3Fh
Selon Greenly, une start-up spécialiste en empreinte carbone, en transportant tous les produits de ses clients français jusqu’en Slovaquie, Amazon émet des tonnes de CO2.
— Envoyé spécial (@EnvoyeSpecial) June 10, 2021
Autant qu’un avion qui ferait 2 125 fois le tour de la terre en un an. #colis #EnvoyeSpecial pic.twitter.com/LWRrWTH6A8
Nicole Bonnefoy, sénatrice socialiste, a déposé un amendement qui interdit la destruction et l’exportation pour destruction des #colis renvoyés:
— Envoyé spécial (@EnvoyeSpecial) June 10, 2021
"Nombre de personnes en ont besoin. Dans la lutte contre la pauvreté, ces produits pourraient être donnés ou revendus." #EnvoyeSpecial pic.twitter.com/6wFNHcbRsh