22/06/2021
« Notre étude révèle que les étrangers mis en cause sont surreprésentés dans toutes les catégories pénales », rapporte le directeur de l’IPJ au Figaro. En effet, si les délinquants étrangers représentent au total « 7,4% » de la population française, ils seraient, parmi eux, « 31% » à être impliqués dans des vols violents avec arme. Les mis en cause sont aussi 17% à être liés à des homicides, ou encore 15% pour coups et blessures volontaires et même 31% pour vols violents avec arme. Le chiffre descend à 14% pour « les auteurs de crimes et délits à caractère sexuel ». Pierre-Marie Sève reprend : « Proportionnellement, les étrangers sont donc de 1,08 à 4,2 fois plus nombreux que les Français selon les catégories pénales ; la catégorie dans laquelle le rapport est le plus élevé étant celle des vols violents sans arme. » Il a affirmé au passage que, « les étrangers originaires du continent africain sont surreprésentés dans toutes les catégories de crimes et délits ».
18/06/2021
ENQUÊTE – Le ministre de l’Intérieur vient d’envoyer des consignes de fermeté aux préfets pour le traitement des délinquants étrangers. Pierre-Marie Sève, directeur général de l’Institut pour la Justice (IPJ), analyse et commente les données recueillies par son think tank.
Tolérance zéro pour les délinquants étrangers. À moins d’une semaine du premier tour des régionales, l’ordre de mobilisation a été lancé aux préfets par Gérald Darmanin. Le ministre de l’Intérieur a demandé aux représentants territoriaux de l’État de rendre effective l’expulsion des migrants en situation irrégulière condamnés pour des infractions graves. Sont concernés les auteurs d’homicide, de viol, de violences conjugales ou de violences contre des dépositaires de l’autorité publique et les dealers. S’ils sont détenteurs d’un titre de séjour, il pourra être remis en cause.
Dans toutes ces catégories de crimes et de délits, les étrangers sont surreprésentés. C’est ce que démontre la note de l’Institut pour la Justice (IPJ) dont nous publions les extraits en exclusivité. Ce think tank entend «promouvoir une justice plus protectrice des citoyens et plus équitable vis-à-vis des victimes». Son action lui avait déjà valu d’être épinglé sur le «Mur des cons» du Syndicat de la magistrature…
La suite sur Le Figaro