Installés dans le Rhône, des Kurdes ont été victimes de violences en marge de rassemblements, d’abord en avril puis en juin. Ils dénoncent l’action de « Loups gris », ces ultranationalistes turcs. Deux enquêtes ont été ouvertes.
Les « Loups gris » commettent-ils toujours des violences en France ? C’est ce qu’affirment des associations kurdes, basées à Lyon. Ce groupe de militants turcs, empreints d’une idéologie islamo-nationaliste et réputés proches du MIT (Service de renseignement Turc), a pourtant été officiellement dissous par le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, le 4 novembre 2020, après plusieurs actions violentes. Six mois plus tard, deux affaires sèment pourtant le doute sur la réalité de leur disparition. (…)