30/06/21
Julia Cagé, née le 17 février 1984 à Metz (Moselle), est une économiste française, spécialiste d’économie politique et d’histoire économique. Publiquement engagée à gauche, elle travaille en particulier sur l’économie des médias et le financement de la démocratie.
(…)
Lors de l’élection présidentielle française de 2012, Julia Cagé signe l’appel des économistes en soutien au candidat François Hollande en raison de « la pertinence des options [proposées], en particulier pour ce qui concerne la reprise de la croissance et de l’emploi ».
En janvier 2016, dans la perspective de l’élection présidentielle de 2017, Julia Cagé est l’un des onze initiateurs de l’appel « Notre primaire » pour une primaire à gauche.
Le 24 janvier 2017, elle cosigne une tribune de soutien à Benoît Hamon en vue de la primaire citoyenne de 2017, intitulée « pour un revenu universel crédible et audacieux .
Après la victoire de Benoît Hamon à la primaire, elle devient responsable du pôle « économie » pour sa campagne présidentielle. Benoît Hamon lui confie une mission sur la mise en place du revenu universel d’existence (RUE). Son estimation est évaluée « à 45 milliards « maximum » financés par la fusion de la taxe foncière et de l’impôt sur la fortune et un transfert de richesses venant du Cice et du pacte de responsabilité, probablement à hauteur de 20 milliards d’euros. » La Tribune.fr conteste le fondement de ce projet de réforme.
23/06/21
Des négociations avec la présidente de Lagardère News, Constance Benqué, ont débouché sur une possibilité de départ avec indemnité des salariés mécontents de la ligne éditoriale.
Pascal Praud répond à Sonia Devillers
22/06/21
21/06/21
France Inter : Sonia Devillers se paye Laurence Ferrari et son arrivée sur Europe 1
Canteloup : « On peut rire de tout sur Europe 1. On peut parfaitement se moquer d’Eric Zemmour sur cette antenne ! »
19/06/21
18/06/21
12/05/21
Face à l’équipe, la direction a souhaité « des ponts » avec CNews. Et invite ceux qui ne sont pas d’accord à partir.
Ça fait une paye que les salariés d’Europe 1 l’attendaient, ce moment. Des mois à ruminer, des mois que face à leurs questions la direction opposait un silence, heu, radio. Cette fois nous y sommes, ce mardi après-midi. À leur demande, les équipes sont conviées « à la présentation du projet de transformation d’Europe 1 à 15 h 00 depuis le studio Bellemare » (oui, « transformation » et « Bellemare » dans la même phrase, on ne rit pas, vous allez voir, ce n’est pas drôle). Sur l’écran défile la nouvelle campagne publicitaire d’Europe 1 censée illustrer le monde changeant que la station veut décrypter. Et avec ses slogans sursignifiants, elle a été plutôt mal vécue en interne : « Qui n’a pas encore fait son burn-out ? » Parfaitement bienvenu dans une boîte où ils se multiplient. « Peut-on encore commettre le crime parfait ? » Idoine quand un Vincent Bolloré vous rôde autour, décrivant des cercles concentriques. « C’était mieux avant, mais avant quoi ? » Eh bien, par exemple, avant qu’Arnaud Lagardère laisse son groupe partir à vau-l’eau. « Et vous, ça va ? » Déjà, ça n’allait pas terrible mais là, ça va encore moins bien pour les salariés d’Europe 1 depuis cette séance et la confirmation en toutes lettres par la direction de ce qu’ils craignaient depuis des mois : « Vous êtes déjà salariés de Vincent Bolloré dans les faits. »