03/07/2021
02/07/2021
Une octogénaire a été violemment poussée par terre par une femme toxicomane à qui elle refusait de donner de l’argent. La victime est grièvement blessée.
Une toxicomane a agressé une femme âgée de 83 ans ce jeudi vers 13 heures, dans la rue de Meaux à Paris (XIVe). Poussée brutalement par terre, la victime souffre d’une fracture du col du fémur. Elle a été prise en charge par les secours avant d’être transportée à l’hôpital Lariboisière (Xe) sans que ses jours ne soient en danger indique une source policière.
L’auteure présumée des faits a quant à elle été rapidement interpellée par la police. Selon les premiers éléments, elle était en train de faire de la mendicité. La victime aurait refusé de lui donner de l’argent, ce qui aurait provoqué sa colère et cette agression.
La mise en cause a été placée en garde à vue et l’enquête a été confiée au commissariat de l’arrondissement.
[…]01/07/2021
30/06/2021
Une femme à vélo agressée par un « crackeur » cet après-midi autour des jardins d’Éole :
Comme promis par Anne Hidalgo, la maire (PS) de Paris, les addicts au crack qui avaient investi depuis le 17 mai les jardins d’Eole (XVIIIe et XIXe), ont quitté les lieux cette nuit. Mais errent toujours dans le quartier sans solution…
La nuit dernière, peu après une heure du matin, sous protection policière, les agents de sécurité de la Ville accompagnés de médiateurs ont dispersé les toxicomanes et vérifié que plus personne ne se trouvait dans le parc, avant d’en refermer les grilles. Une opération sous haute tension, ponctuée de cris, d’injures et de jets de bouteilles. Et sans aucun dispositif de prise en charge. Chassées des jardins, des dizaines d’hommes et de femmes, ont poursuivi leur errance dans le quartier, où certains se trouvent toujours ce matin.
Le parc est désormais libéré, mais quid, désormais, des toxicomanes ? Anne Hidalgo a annoncé, au cours de trois réunions organisées avec les maires du nord-est parisien et les acteurs de la réduction des risques, qu’une solution pérenne serait mise en place au mois de septembre. Vraisemblablement des lieux d’accueil et d’hébergement, avec suivi sanitaire et social, voire soins psychiatriques. Mais, on ignore, pour l’heure, l’endroit vers lequel pourraient être dirigés, à titre provisoire, les toxicomanes qui se retrouvent à la rue sans lieu pour les accueillir.