Puisqu’on ne peut pas publier de photo d’Yseult, on vous montre à quoi ressemble le site des Charrues, cette année.
On aurait pu écrire quelques lignes sur Yseult… Comme on le fait habituellement pour n’importe quel artiste qui se produit aux Vieilles Charrues. On ne le fera pas. Et on ne publiera aucune photo de l’artiste.
Pourquoi ? Tout simplement parce qu’elle n’a pas autorisé les journalistes à accéder à la fosse pour faire leur métier. Celle qui a maille à partir avec la presse depuis quelques semaines, suite à la parution d’un portrait du Monde, , n’a visiblement toujours pas compris ce qu’était un journaliste.
Alors, on va juste se contenter d’expliquer que rien ne l’oblige effectivement à nous ouvrir les portes. Mais qu’en contrepartie, rien ne nous oblige non plus à lui faire des courbettes. Refuser des photos qui servent essentiellement à faire la promotion d’un festival qui se déroule dans des conditions très compliquées, à décrire une ambiance, parler des artistes qui remontent enfin sur scène… Elle a beau s’en être excusée en fin de set, on glissera aussi qu’elle a commencé son concert par « Bonsoir La Rochelle ! »