Les policiers ont arrêté l’individu à son domicile de Ciboure à 6h15 ce dimanche. L’arrestation s’est déroulée dans le calme. Le suspect a ensuite été placé en garde a vue dans le cadre de l’enquête ouverte pour tentative de meurtre. Il devrait être présenté devant le parquet de Bayonne dans la journée de lundi pour une probable mise en examen. Pour l’instant, on ne connait pas le mobile de l’agression, d’autant qu’il n’y a aucun lien connu entre la victime et son agresseur. “Aucune relation”, selon une source proche de l’enquête.
Les faits font froid dans le dos. Vers deux heures du matin dans la nuit de vendredi à samedi, un homme a tout d’abord frappé à la tête sa victime qui déchargeait sa voiture qu’elle venait de garer devant son domicile de Ciboure. Puis armé d’un couteau de cuisine récupéré dans l’appartement de la femme, il s’est acharné sur sa victime. Une dizaine de coups de couteau ont été relevés lors des constatations médicales. Alertés par un voisin, les policiers de Saint-Jean-de-Luz, ont trouvé la victime en sang, prostrée dans sa salle de bain. La rapide intervention des secours lui a sans doute sauvé la vie.
Le suspect est déjà connu de la justice puisqu’il possède un casier judiciaire. Hospitalisée à la clinique Belharra de Bayonne, la victime reste grièvement blessée mais ses jours ne sont plus en danger.
Une femme de 42 ans est dans un état grave à l’hôpital, son pronostic vital est engagé. Cette dernière a été victime d’une agression ultra-violente à coups de couteau dans la nuit de vendredi à samedi, devant son domicile, à Ciboure (Pyrénées-Atlantiques). L’auteur est en fuite.
Cette agression particulièrement violente s’est produite vers 2 heures du matin. Une femme âgée d’une quarantaine d’années venait d’arriver devant son appartement et était en train de décharger sa voiture décrit France Bleu.
Un homme s’est approché d’elle et lui a porté un coup de tête. L’agresseur est ensuite allé chercher un couteau dans la cuisine puis l’a poignardée à une dizaine de reprises, selon les constatations.
(Merci à Marie Ange)