Clément, un développeur de 35 ans, a été sauvagement agressé dans la nuit de samedi à dimanche, alors qu’il rentrait chez lui après une soirée. Il témoigne pour alerter sur l’insécurité et la violence gratuite.
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Après une nuit aux urgences et un scanner qui ne révèle heureusement pas de lésions graves, Clément est sorti de l’hôpital avec un traumatisme crânien, des points de suture au cuir chevelu et à l’arcade sourcilière, et des tuméfactions aux tempes. Il a déposé plainte, et veut témoigner de l’insécurité et de la violence dans son quartier. « Je suis plutôt écolo, mais au lieu d’installer des bacs à compost, je préférerais des caméras de vidéosurveillance », constate-t-il, « car s’il y avait une caméra dans la rue, on pourrait peut-être arrêter mes agresseurs ».
Pour surmonter le choc de cette agression, Clément compte sur le suivi psychologique qui va être mis en place, et espère que les individus qui l’ont sauvagement passé à tabac seront identifiés.