Vendredi 29 octobre à Rome, le président américain s’est autorisé une heure trente de retard avant de retrouver son homologue français dans l’espoir de clore la brouille suscitée par l’annonce, mi-septembre, du pacte de défense entre les Etats-Unis, l’Australie et le Royaume-Uni, négocié en secret au détriment de la France.
(…) Le Monde