François Hollande juge que cette hausse du populisme trouve ses origines dans la perte de force “des deux grands partis qui structuraient la vie politique” française et “une absence d’offre” : “La faute à la droite et à la gauche qui ne jouent plus leur rôle”, et “je suis aussi responsable pour une part”, a reconnu l’homme politique.
L’ancien dirigeant a par ailleurs pointé du doigt les réseaux sociaux et certaines chaînes d’information qui alimentent le “repli identitaire” présenté “comme la seule perspective”, a-t-il jugé.
(…) RTL