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L’animatrice de M6, qui présente dimanche soir sur M6 un nouveau numéro d’«Une ambition intime», est apparue agacée par une question de la présentatrice de «C à vous».
Dimanche 7 novembre, cinq ans après avoir lancé «Une ambition intime» avec les candidats à l’élection présidentielle de 2017, Karine Le Marchand revient sur M6 avec un épisode inédit centré sur les femmes politiques au pouvoir. Pour ce faire, l’animatrice est allée à la rencontre de la maire de Paris Anne Hidalgo, de la présidente de la région Île-de-France Valérie Pécresse, de la ministre déléguée auprès du ministre de l’Intérieur, chargée de la Citoyenneté Marlène Schiappa, de la présidente du Rassemblement national Marine Le Pen et de la maire du 7e arrondissement de Paris Rachida Dati. Les cinq femmes ont ainsi accepté de dévoiler leur quotidien professionnel et personnel, auprès de leurs proches pendant leurs vacances ou leurs loisirs.

Vendredi soir, dans le cadre de la promotion de son émission, Karine Le Marchand s’est rendue sur le plateau de «C à vous» sur France 5. Mais après seulement quelques minutes, l’animatrice a montré des signes d’agacement. En effet, Anne-Élisabeth Lemoine a voulu savoir si elle ne craignait pas d’entendre un reproche qui lui avait déjà été fait il y a cinq ans: «Vous humanisez, vous rendez sympathique Marine Le Pen, vous contribuez à sa galvanisation»«Mais pourquoi vous posez la question pour Marine Le Pen et pas pour Valérie Pécresse ou Anne Hidalgo?», s’est étonnée Karine Le Marchand. «Elle vient la question, les questions seront les mêmes», s’est alors défendue Anne-Élisabeth Lemoine. «Pourquoi les journalistes, vous me demandez: “Est-ce que vous n’avez peur d’humaniser Marine Le Pen?” Pourquoi vous ne me demandez pas: “Est-ce que vous n’avez pas peur d’humaniser Anne Hidalgo?”», s’est ensuite interrogée l’animatrice de M6.
Et Anne-Élisabeth Lemoine de préciser: «Vous les rendez toutes sympathiques, elles apparaissent toutes sous un jour favorable». «Mais elles sont toutes humaines! C’est leur jour à elles, c’est leur quotidien qui m’intéresse», a souligné Karine Le Marchand. «Ce ne sont pas des monstres froids. […]

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