23/11/2021
Cour d’assises de Charente-Maritime : « Elle s’est vue mourir »
Salah Kelouache avait entamé sa cavale violente par une agression sur une habitante de Saint-Palais-sur-Mer âgée de 71 ans, le 8 décembre 2018
Le premier épisode détaillé par la cour d’assises de la Charente-Maritime, lundi 22 novembre, est aussi l’un des plus violents. Les faits se déroulent samedi 8 décembre 2018. Ce même jour, vers 9 heures, Salah Kelouache tentait de cambrioler un magasin de pompes funèbres, à La Rochelle, avant de faire subir un viol à la vendeuse.
Un peu avant midi, il déboule dans la cuisine d’une habitante de Saint-Palais-sur-Mer, âgée de 71 ans. « Il m’a sauté dessus. Je suis tombée par terre, je me suis fait mal. Il m’a mis des coups de poing au niveau du visage, il s’est mis derrière moi et a commencé à m’étrangler », a-t-elle relaté aux enquêteurs.
[…]L’article dans son intégralité sur Sud Ouest
Merci à Adrien Le B
25/01/2021
Charente-Maritime : condamné à 20 ans pour viol, Salah Kelouache fait appel
Vendredi, à Saintes, la cour d’assises de Charente-Maritime a prononcé une lourde peine à l’encontre de Salah Kelouache : 20 ans de réclusion, avec une période de sûreté des deux tiers.
[…]Salah Kelouache a passé près de la moitié de sa vie en prison.
[…]Salah Kelouache doit retrouver le tribunal de Saintes dès cette année pour une autre série de faits, commis en décembre 2018 et janvier 2019
[…]L’article dans son intégralité sur Sud Ouest
19 janvier 2021
Assises de la Charente-Maritime : le vol raté avait dégénéré en viol
[…]Les faits remontent au 8 décembre 2019. Ce matin-là, vers 9 heures, un homme se présente à une porte donnant sur l’arrière d’un magasin de pompes funèbres de La Rochelle. Il semble pressé. Une jeune employée, seule sur les lieux, lui ouvre. Elle imagine qu’il appartient à la famille d’un défunt dont le corps a été rapatrié en Afrique du Nord. Sous la menace d’un couteau papillon, le visiteur la somme de lui remettre de l’argent. Mais la vendeuse n’a pas la clé de la caisse, et presque rien sur elle.
Le vol dégénère alors en viol, toujours sous la menace d’une arme.
[…]Salah Kelouache traîne un casier lourd de neuf condamnations.
[…]Au moment des faits, il était en cavale du centre de réinsertion de Coucy-le-Château d’Auffrique
[…]L’article dans son intégralité sur Sud Ouest