Extraits :
Alain Finkielkraut : “Il y a en Europe une obsession antifasciste et antinazie (…) La tragédie actuelle n’est pas le retour des vieux démons c’est quelque chose d’inouï. La France est en train de devenir une petite nation”
Alain Finkielkraut : “La France va-t-elle durer ? La France sera-t-elle la France ? Et c’est cette légitimité qu’on ne veut pas prendre en compte au nom de cet antifascisme tout à la fois obsessionnel et anachronique”
Alain Finkielkraut sur le rapport à l’histoire d’Emmanuel Macron : “Une majorité de Français plaide (…) pour le droit à la continuité historique”
Alain Finkielkraut : “Les responsables politiques et journalistes qui pensent que le seul problème de la France c’est la domination masculine et la discrimination généralisée (…) effacent tous les événements qui contredisent cette bonne parole”
Alain Finkielkraut : “Le journaliste d’aujourd’hui c’est le gros bras qui trie les faits et qui fout dehors la majorité d’entre eux (…) Ariane Chemin a écrit un article fascinant. Depuis 2002, sont revenues en France les listes noires (…) On dresse des listes de suspects”
Alain Finkielkraut sur la participation d’intellectuels à l’installation de la candidature d’Eric Zemmour : “C’est grotesque. C’est totalement diffamatoire”
Alain Finkielkraut sur l’expression “grand remplacement” : “Je ne suis pas sûr de partager ce constat. Je pense qu’il est trop radical. Eric Zemmour lui-même est un peu revenu là-dessus (…) Et maintenant son image, son concept, sa métaphore c’est la libanisation”
Alain Finkielkraut : “Il faut mettre l’école au coeur de la campagne. D’abord, peut-être en sortant du fétichisme des ordinateurs”