Besançon : le mari d’une Afghane poignardée en pleine rue jugé pour assassinat
[…]Le 30 octobre 2018, à proximité du centre-ville de Besançon, Rachid Askari s’était caché et avait suivi sa femme, qui venait de descendre du tramway, pour rejoindre l’appartement mis à sa disposition par une association de défense du droit des femmes. Arrivé par derrière, il lui avait porté neuf coups de couteau au niveau de la tête, du crâne et de la face. Razia Askari est décédée d’une «hémorragie massive», laissant derrière elle trois enfants.
Rapidement soupçonné d’être l’auteur du crime et sous le coup d’un mandat d’arrêt international, Rachid Askari avait été interpellé trois jours après le crime à l’aéroport d’Athènes – alors qu’il tentait vraisemblablement de fuir -, avant d’être extradé vers la France.
[…]L’article dans son intégralité sur Le Figaro