C’est un véritable hold-up opéré par les associations islamistes affiliées aux Frères musulmans, qui ont mis la main sur un gigantesque magot estimé à plus de 64 millions d’euros de subventions publiques octroyées par la Commission Européenne et le Conseil de l’Europe, depuis 2007. Le chiffre est loin d’être exhaustif. Il s’agit d’un décompte établi par Global Watch Analysis, en recoupant les différents chiffres évoqués par des médias ou des députés européens avec les données de l’European Commission Financial Transparency System (ECFTS). Une estimation à minima qui ne recouvre, en réalité, que la partie émergée de l’iceberg. (…)
Toutes ces associations ont pour point commun une filiation avérée, même si elles refusent de l’admettre publiquement (Voir l’interview de l’ex-dirigeant du FEMYSO, Michaël Privot), à la Federation of Islamic Organisations in Europe (FIOE), la structure suprême qui chapeaute les tentacules des Frères musulmans à l’échelle pan-européenne. Selon le décompte de Global Watch Analysis, la part du lion des subventions européennes octroyées aux associations islamistes revient à l’Islamic Relief, ONG caritative frériste, basée à Londres et présente dans 60 pays. À elle seule, elle a reçu de la commission européenne 40.026.424€ depuis 2009. Pis encore, les scandales liés aux dérives antisémites et à l’apologie du terrorisme, qui ont éclaboussé Islamic relief, en août 2020, provoquant la démission de son président puis de l’ensemble de son conseil d’administration, n’ont pas empêché la Commission Européenne de la reconduire comme ‘‘partenaire humanitaire’’ jusqu’en 2027 ! (…)
au lendemain des attentats de Paris et de Bruxelles, en novembre 2015, plutôt que d’adopter une position ferme face au danger islamiste, la Commission Européenne s’est empressée de créer un poste de « Coordinateur contre la haine anti-musulmans » ! Les réseaux d’influence des Frères musulmans et leurs ‘‘idiots utiles’’ islamo-gauchistes ont alors sauté sur l’occasion pour faire croire que « l’extrémisme djihadiste résultait de la haine anti-musulmans ». Pour combattre le terrorisme djihadiste, les instances européennes n’avaient, donc, qu’à redoubler d’efforts pour soutenir financièrement les associations de lutte contre l’islamophobie !