2/Le campement existe depuis fin janvier, explique un riverain du collectif citoyen Pantin solidaire. « Ils ont été chassés de lieu en lieu… Nous les avons donc installés ici. Ils trouvent un peu de répit dans ce parc. Ils ne démontent pas leur tente tous les jours ». pic.twitter.com/lAHhHSxkm7
— Charlotte Boitiaux (@chaboite) February 22, 2022
4/Sanaullah est parti quelques jours après la prise de Kaboul par les Taliban. Il vit dans le camp depuis 20 jours, dit-il en pachto. « Il fait froid, il pleut, et il y a des gens qui sont malades. On a beaucoup de problèmes ». pic.twitter.com/7NOAJKKkrQ
— Charlotte Boitiaux (@chaboite) February 22, 2022
6/ beaucoup de jeunes, des primo-arrivants déchantent complément. Ils ne pensaient pas que la France les laisserait à la rue. « Heureusement que les voisins sont gentils », dit l’un d’eux en mangeant la barquette de pâtes de Fodil. pic.twitter.com/7KayaAA0k5
— Charlotte Boitiaux (@chaboite) February 22, 2022
8/8 Les collectifs espèrent qu'une prochaine mise à l'abri sortira ces jeunes de la rue. Si les arrivées quotidiennes continuent, la situation risque de devenir critique dans le parc où les jeunes n'ont accès ni à l'eau ni à l'électricité.
— Charlotte Boitiaux (@chaboite) February 22, 2022