Les polémiques ne sont pas terminées autour de la candidate à l’élection présidentielle Valérie Pécresse, qui représente le parti Les Républicains. En effet Libération a récemment révélé que des “manœuvres frauduleuses visant à gonfler le corps électoral” auraient été impliquées. De quoi provoquer de nouvelles discussions autour de la candidate de droite qui, à l’approche du premier tour de l’élection présidentielle, s’est confiée à Closer pour parler un peu d’elle. Perçue comme froide et distante, Valérie Pécresse a expliqué à nos confrères qu’elle est pourtant pleine d’empathie, un trait de caractère qui se serait manifesté dès le collège. “J’étais déléguée de classe. Je dénonçais les injustices et défendais les plus faibles” a expliqué la candidate.
Et d’ajouter en riant : “Les gens pensent que je suis froide, alors que je suis plutôt du genre hyperbouillante ! Disons que je suis une cheffe de bande version Mère Teresa“. De quoi voir Valérie Pécresse sous un autre jour, qui continue d’ailleurs de raconter son adolescence plutôt particulière. “J’ai visité l’Asie en sac à dos avec des copains. Dès 16 ans, je partais en Russie dans les camps de jeunesse communiste“. Un intérêt pour la politique – même si elle a changé de camp entre-temps – qui s’est donc manifesté très jeune, et qui l’a guidée dans tout son parcours de vie, malgré quelques grosses déceptions. “J’ai failli tout laisser tomber après la défaite de 2012 (de Nicolas Sarkozy face à François Hollande, ndlr)”.
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