28/06/2022
Chaque jour des milliers de touristes foule la pelouse du Champ-de-Mars, au pied de la Tour Eiffel. Mais pour certains, ce voyage de rêve se transforme en cauchemar face à la délinquance. C’est l’un des sites touristiques les plus prisés, mais aussi l’un des plus sensibles de la capitale. Sur le Champ-de-Mars, les vols à l’arraché et les jeux d’argent pour arnaquer les passants nombreux. La cible principale de ces délinquants : les touristes étrangers.
Lors de la matinale présentée par Romain Desarbres le 28/06/2022, le porte-parole des Amis du Champs-de-Mars Pierre Lamalattie était en direct avec le plateau. Il a évoqué à la délinquance à Paris : «Il y a une montée importante de la délinquance […] elle est généraliste et s’attaque à tout le monde. Ça pourrit la vie de beaucoup de gens».
20/04/2022
Pascal Praud : “Le Champ-de-Mars illustre tous les maux de la France : insécurité, immigration, saleté, désordre, impuissance de l’Etat, travail clandestin… La France en 2022 ressemble à la pelouse du Champ-de-Mars” pic.twitter.com/clqs551CPZ
— Fdesouche.com est une revue de presse (@F_Desouche) April 20, 2022
19/04/2022
15/04/2022
Dans ce quartier cossu à l’ombre de la tour Eiffel, les «squatteurs» de rue investissent chaque jour les abords des immeubles haussmanniens. Des habitants demandent des accès sécurisés, d’autres réclament la fermeture complète du Champ-de-Mars la nuit.
Une poignée d’hommes en blousons ou parkas sombres, comptant des liasses d’euros du trafic de cigarettes ou soutirés aux touristes piégés au jeu de bonneteau. D’autres, postés avec leurs oreillettes, le regard en gyroscope, entre allées et bosquets. Des voitures immatriculées en Roumanie garées dans une impasse pavée, d’où sortent guetteurs et « bonneteurs ». Une bouche d’égout servant de cachette aux trafics divers, parfois à des bonbonnes de gaz utilisées par les vendeurs de marrons grillés ou de merguez qui viennent recharger leurs chariots de fortune au bas des immeubles.
Ajoutez-y des altercations verbales, des vols à la tire, souvent des rixes, et l’animosité manifeste des « squatteurs » de la rue envers les riverains, dont ils occupent parfois les porches.