Fdesouche

Le traditionnel (sic) repas à petit prix, dont raffolent les étudiants, risque de faire mal au portefeuille de nombreux Rennais. Avec l’inflation, le prix de cet indispensable de fin de soirée (sic) ne cesse de grimper. De 50 centimes à 2 euros sur toute la métropole, et ceux qui n’ont pas encore procédé à cette augmentation se préparent d’ores et déjà à l’effectuer pour septembre. Il sera bientôt impossible de trouver un kebab-frites en dessous des 7 euros dans la capitale bretonne.

« Tous les commerces de restauration se retrouvent dans l’obligation d’augmenter leurs prix et de diminuer leurs quantités. » Pour ce spécialiste du secteur de la restauration, les petits commerces auront dû (sic) mal à passer la crise avec une marge aussi minime, explique un responsable de la chambre syndicale départementale industrie hôtelière d‘Ille-et-Vilaine (UMIH35).

Si les chaînes de kebab vivent difficilement cette hausse des prix, les clients la ressentent aussi avec surprise. « On nous vend ça comme une alimentation pas chère et on se retrouve à dépenser plus de 7 euros dans un kebab » s’irrite Clément, étudiant en Master 2, à la faculté de droit. « On ne peut pas se permettre de dépenser autant dans un repas ». Un constat partagé par son camarade Ivan, également étudiant.

Le Télégramme

Fdesouche sur les réseaux sociaux