🔴 Depuis des années, l'immeuble où vit Deborah*, à Saint-Ouen (93), sert de point de deal.
— Amaury Bucco (@AmauryBucco) October 4, 2022
Boites à lettres défoncées, violences, menaces, insultes… à 70 ans, elle vit un « enfer ». Pour la forcer à partir, les dealeurs ont même fait courir le bruit que Déborah* se prostituait pic.twitter.com/G72LY89jRl
Elle est loin d'être la seule dans cette situation en France
— Amaury Bucco (@AmauryBucco) October 4, 2022
Des policiers interrogés expliquent la difficulté de venir à bout des points de deal. Aussitôt démantelés, ils se reforment qq heures/jours plus tard, ou qq mètres plus loin. Pareil pour les petites mains interpellées.. pic.twitter.com/yRaZE0bybt
Si bien que lorsqu'il y a des interpellations, ou des saisies, elles sont limitées, et le réseau peu continuer à tourner. Il faut donc des mois d'enquêtes pour faire tomber un réseau avec ses chefs… eux aussi rapidement remplacées, compte tenu des sommes d'argent brassées
— Amaury Bucco (@AmauryBucco) October 4, 2022
Dimanche dernier, il a annoncé une baisse de 20% des points de deal, avec 719 d'entre eux démantelés. Selon les chiffres du ministère de l'Intérieur, il reste encore 3 233 points de deal en France 🇫🇷 pic.twitter.com/tdrgHgh1z0
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Là où se développent ces réseaux. L'avantage c'est que si ces petites mains se font interpeller, elles ne pourront pas "balancer" grand chose, puisqu'elles connaissent presque rien de l'environnement où elles ont été envoyées pour travailler
— Amaury Bucco (@AmauryBucco) October 4, 2022