Prisonniers d’enjeux internes, les partis semblent être dans une impasse où la violence et la radicalité traduisent en réalité une grande faiblesse, explique, dans sa chronique, Solenn de Royer, journaliste au « Monde ».
« Ceux qui sont susceptibles de voter RN sont d’accord avec les propos de M. de Fournas, et une partie des autres, qui déplorent la violence du débat politique, resteront indifférents à une polémique politisée par la gauche », analyse toutefois la politiste de la Fondation Jean Jaurès Chloé Morin, convaincue que l’incident ne fera pas bouger les lignes.
(…) Le Monde