Des bénévoles de la Maison de l’Écologie de Lyon dénoncent des violences subies par des transactivistes. La Commission LGBTQIA+ d’EELV se félicite de l’annulation d’un évènement « Écofeminisme » jugé transphobe.

Nous dénonçons les violences subies par les bénévoles de la Maison de l’Écologie de Lyon de la part de transactivistes organisés pour les terroriser.
Des hommes cherchent à faire taire des féministes par la terreur et le harcèlement, des méthodes classiques de masculinistes.

— Floraisons (@floraisonsblog) November 14, 2022

Nous nous félicitons de l’annulation de cet événement.

La transphobie et l’éco-fascisme sont antinomique aux valeurs de l’écologie politique. Merci aux personnes également mobilisées contre la tenue de cette conférence. https://t.co/uucb6RqEjX

— Commission LGBTQIA+ d’EELV (@LGBT_EELV) November 12, 2022

Quelle honte, voilà maintenant @EELV qui traite les féministes radicales d'éco-fascistes (le nouveau « féminazie » à la mode) et se félicite de la censure des écoféministes, au moyen de la terreur et du harcèlement. https://t.co/iJZAB4XEwt pic.twitter.com/VC58iBBvT7

— Floraisons (@floraisonsblog) November 14, 2022

On a donc ici des collectifs qui sont plus proches de l’écofascisme qui interviennent dans un tiers-lieu, c’est à dire une écologie réactionnaire transphobe et qui soutient Stern et Moutot proches de l’extrême-droite comme ça a été montré par @PaulineBock et @arretsurimages.

— Quốc Anh (@vietkrmpzh) November 12, 2022