Environ 400 livreurs Uber Eats ont manifesté ce samedi à Paris pour dénoncer la désactivation de leurs comptes sur la plateforme de livraison à domicile. Sans-papiers, ces livreurs souvent recrutés au plus fort de la crise covid demandent une régularisation de leur situation au gouvernement.
[…]Vous pouvez aussi aimer
Rioufol : “Timothy serait en vie si les élites avaient pris leur distance avec l’idéologie diversitaire qui disloque le pays et l’ouvre à l’islam”
CHRONIQUE – Si la droite veut renaître, elle ne doit plus avoir honte de protéger la France d’invasions subventionnées, de plus, par les contribuables. Ainsi va la France maltraitée : ceux qui défendent des...
Le restaurateur Thierry Marx, favorable à l’immigration de travail, demande la «régularisation rapide» des travailleurs sans papiers en restauration et hôtellerie
Alors que plusieurs mesures gouvernementales ont pour objectif de réduire les difficultés de recrutement rencontrées par certaines professions, le chef Thierry Marx défend une régularisation des travailleurs sans...
Transfert de 234 réfugiés de Grèce vers la France dans le cadre du programme de relocalisation
234 réfugiés ont été «relocalisés», le 18 octobre, de Grèce vers la France. Cette étape constitue l’un des derniers gros déplacements liés au programme de relocalisation des réfugiés dans l’Union européenne. Ce...
Bergame (Italie) : agression sexuelle d’une animatrice du centre de migrants
Une fille de 26 ans, travaillant dans un établissement d’accueil, a été agressée sexuellement par un demandeur d’asile du Sierra Leone, âgé de 20 ans. Les faits se sont déroulés ce matin, mercredi 20...
Morton (Mississippi) : arrestation et licenciement de 450 clandestins (plus de 10 % de la population)
Les opérations menées par l’Agence de contrôle de l’immigration à Morton, petite ville d’à peine 3 400 habitants (Mississipi) ont conduit à l’arrestation et au licenciement de 450 personnes, soit plus de 10 % de la...
Amiens (80) : des migrants irakiens bloqués en gare à cause de la grève
Débarqués au petit matin en gare d’Amiens, une quinzaine d’Irakiens pensaient prendre le train pour Calais. C’était sans compter avec la grève.