01/12/22
Enfin, 5ème axe d’action : accélérer l’agenda de souveraineté 🇪🇺 pour répondre, sur le fonds, aux problèmes de nos sociétés. pic.twitter.com/C40h0T6hmz
— L’Europe Ensemble (@Ensemble_UE) December 1, 2022
Les eurodéputés macronistes organisent un colloque contre l’extrême-droite au Parlement européen avec comme expert, Nicolas Vanderbiest, l’homme qui avait fiché illégalement des milliers de twittos en fonction de leurs opinions politiques supposées (MàJ)
Entre courants de “réinformation” et buzz toxiques autour de faits divers, @Nico_VanderB analyse : les extrêmes usent en ligne de leur discours simpliste et démagogue en 140 caractères.
— Valérie Hayer (@ValerieHayer) December 1, 2022
Le bad buzz n’en reste pas moins du buzz.
Le cofondateur de l’association belge EU DisinfoLab, accusée d’avoir “fiché” des milliers d’utilisateurs de Twitter en publiant les comptes qui avaient largement contribué à la diffusion d’informations sur l’affaire Benalla, a présenté ses excuses vendredi et annoncé qu’il cessait ses activités à l’Université catholique de Louvain.
“Dans mon prisme de doctorant, je ne pouvais soupçonner que le partage de ces données aurait une telle portée”, écrit Nicolas Vanderbiest sur le site Medium. “J’assumerai les responsabilités qui m’incombent.”
Il ajoute vouloir “cesser [s]es activités dans le cadre de l’Université catholique de Louvain, qui ne doit pas souffrir de [s]es activités bénévoles et de leur portée”.
(…) Reuters