15/12/22
Annonce de la nomination de Mme Bin-Heng au CESE
Témoignage sur l’association Filactions.
Une militante de Filactions intervenant dans ce Twitch féministe avec le logo de l’association.
11/12/22
La région Auvergne-Rhône-Alpes doit prochainement soumettre au vote une subvention de 20 000€ à l’association Filactions. Sous couvert de lutte contre les violences conjugales, celle-ci se revendique pourtant de l’idéologie woke que Laurent Wauquiez dit vouloir combattre. Décryptage.
Sur son site officiel, Filactions se présente comme une « association de prévention des violences sexistes et conjugales ». Une association parmi tant d’autres, engagée au service des victimes à première vue, et destinataire de subventions de la région depuis plusieurs années. Derrière ces bons sentiments de façade, pourtant, Filactions inscrit son action dans l’agenda militant sauce woke que dénonce Laurent Wauquiez.
Dès la page d’accueil de son site, l’association donne le ton, faisant de l’homme l’ennemi à abattre. On apprend ainsi qu’une femme meurt tous les deux jours « parce qu’elle est une femme », ou encore que « 90% des auteurs de violences sexistes sont des hommes ». Les exemples de progressisme bon teint abondent : écriture inclusive — et l’inénarrable prénom iel —, réunions en non-mixité dans une « démarche d’empouvoirement » pour permettre la « libération de la parole », balades urbaines afin de partir à la découverte du« matrimoine » Lyonnais…
Avec le soutien de l’État et de la très grande majorité des collectivités locales de la région, Filactions intervient par ailleurs dans un grand nombre d’établissements scolaires pour sensibiliser enfants et adolescents les incitant notamment à « déconstruire les stéréotypes filles-garçons » ou encore à « questionner les relations filles-garçons sous l’angle des masculinités ». Pour parfaire le tout, Filactions se fait également le porte-voix de la lutte intersectionnelle en invitant à participer aux manifestations du mouvement d’ultra gauche La Jeune Garde ou en appelant à « brûler les riches » pour mettre un terme au capitalisme.
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