30/12/2022
29/12/2022
Sur ces inscriptions, plusieurs policiers de la brigade anticriminalité (BAC) sont identifiés par leur nom et prénom, certains avec leur adresse personnelle. Les plaques d’immatriculation de leur véhicule personnel ont aussi été écrites, tout comme celles de véhicules administratifs banalisés. Le tout est accompagné de menaces de mort, parfois nominatives. “On va te tirer dessus”, est-il l’écrit à l’attention d’un policier. Pour un autre : “Une balle dans la tête”. “On va s’occuper de tes enfants”, menacent les auteurs concernant un troisième agent. “On va couper la tête à ta mère”, peut-on aussi lire au sujet d’un quatrième fonctionnaire. “Un revolver sur la tempe de …”.