Cet homme et deux autres, tous trois natifs du même village algérien, répondaient, ce lundi 6 février, à Nantes, de trafic de stupéfiants et, pour deux d’entre eux, de séquestration et de violences avec arme. Ils ont été condamnés de deux à cinq ans de prison ferme et deux font l’objet d’une interdiction du territoire national pendant dix ans.
Ils sont trois prévenus dans le box du tribunal correctionnel de Nantes, ce lundi 6 février. Tous trois natifs de Chlef, en Algérie, en situation irrégulière pour deux d’entre eux. Comme beaucoup de ces jeunes migrants qui comparaissent régulièrement en urgence pour des affaires de stupéfiants ou pour des cambriolages.
Y a-t-il un lien entre eux ? On peut le supposer, à l’écoute du long exposé de la présidente du tribunal, Ariane Gajzler, et surtout de la démonstration du procureur, Thierry Rolland, s’appuyant sur un témoignage anonyme, sur les plaintes de deux victimes et sur la surveillance mise en place par la police.
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