La justice a ouvert une enquête préliminaire le 11 février, confiée à la PJ parisienne, en raison de la publication de données personnelles du député Nupes sur des boucles Telegram liées à l’ultra-droite.
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Plus inquiétant encore, des trajets personnels et professionnels de Louis Boyard, avec la précision des horaires, ont été publiés sur les boucles. Ce qui, pour les policiers, laisse penser que l’élu a pu être suivi.
En outre, des courriers de menaces de mort et d’insultes lui sont parvenus à son domicile ainsi qu’à son bureau de l’Assemblée nationale. Les proches du député sont également visés par les attaques.
