29/03/2023
28/03/2023
Incendie de la cathédrale de Nantes : Huis clos demandé dans le procès du migrant clandestin rwandais, sous le coup d’une OQTF, dont le diocèse soutenait la régularisation. Il est également mis en examen pour l’assassinat d’un prêtre un an plus tard (MàJ)
L’audience s’ouvrira sur une requête. Me Meriem Abkoui, qui assiste désormais le prévenu dans ce dossier (*), sollicitera en effet le huis clos, une demande à laquelle le tribunal peut, ou non, accéder. Cette affaire a défrayé la chronique et nous souhaitons apaiser les choses afin que les débats se déroulent dans une vraie sérénité , explique l’avocate, décrivant son client comme étant stressé, angoissé . Un expert l’a d’ailleurs récemment visité au Service médico-psychologique régional (SMPR) de la maison d’arrêt, où il est actuellement détenu. Il a considéré qu’il était apte à comparaître mais que des temps de pause seraient nécessaires (pendant le procès, N.D.L.R.) , précise Me Abkoui.
(…)
Le prévenu, alors bénévole du diocèse, avait reconnu avoir mis le feu au sein de la cathédrale Saint-Pierre et Saint-Paul le 18 juillet 2020. Emmanuel Abayisenga, avait expliqué avoir subi une agression en 2018 en sortant de la cathédrale. L’homme avait effectué plusieurs demandes de régularisation, soutenues par le diocèse, qui n’avaient pas abouti. Emmanuel Abayisenga avait reçu une obligation de quitter le territoire français (OQTF) en novembre 2019. Il n’avait alors plus aucune voie de recours.
28/12/2022
Lors d’une audience «relais», qui s’est déroulée ce mercredi au tribunal de Nantes, les magistrats ont demandé qu’une nouvelle expertise psychiatrique de l’accusé soit menée en amont du procès sur le fond.
Emmanuel Abayisenga, l’incendiaire présumé de la cathédrale de Nantes en juillet 2020, et meurtrier présumé du père Olivier Maire en avril 2021 en Vendée, sera jugé le 29 mars prochain pour les premiers faits qui lui sont reprochés. La date de son jugement sur le fond a été fixée ce mercredi lors d’une audience «relais» qui s’est tenue au tribunal de Nantes. Lors de celle-ci, les magistrats ont accédé à une demande de la défense.
Emmanuel Abayisenga est attendu au tribunal de Nantes, ce mercredi 28 décembre, deux ans et demi après l’incendie de la cathédrale de Nantes. Il encourt dix ans de prison.
Il aura 42 ans, ce dimanche 1er janvier. Emmanuel Abayisenga doit comparaître ce mercredi 28 décembre, à 14 h, devant le tribunal correctionnel de Nantes, selon une information d’Actu.fr confirmée à Presse Océan. Il est poursuivi pour destruction et dégradation, deux ans et demi après l’incendie de la cathédrale de Nantes. Il encourt dix ans de prison et 150 000 € d’amende.
24 millions d’euros de travaux pour restaurer la cathédrale
(…) La piste de l’incendie criminel est rapidement privilégiée : les enquêteurs relèvent trois départs de feu. Ils découvrent aussi des traces de produit inflammable. La vidéosurveillance permet à la police judiciaire d’identifier un suspect : le servant d’autel bénévole, qui devait fermer l’édifice la veille de l’incendie. Emmanuel Abayisenga est interpellé quelques heures après l’intervention des pompiers. Il est remis en liberté le lendemain, puis replacé en garde à vue une semaine plus tard. Incarcéré, il est placé dans une unité de soins psychologiques.
(…) Le 25 juillet 2020, Emmanuel Abayisenga est mis en examen pour l’incendie de la cathédrale. Le 31 mai 2021, il est remis en liberté, sous contrôle judiciaire : il doit suivre des soins. Son état psychologique est fragile. Fin juin, il est hospitalisé en psychiatrie durant un mois. Il est alors accueilli en Vendée, à Saint-Laurent-sur-Sèvre, au sein de la congrégation des Montfortains. C’est là qu’un nouveau drame va se nouer. Le lundi 9 août 2021, le supérieur provincial de la communauté, le père Olivier Maire, 60 ans, est tué de plusieurs coups à la tête.
18/07/2021
Emmanuel A., le bénévole qui a reconnu avoir mis le feu à la cathédrale de Nantes au petit matin du 18 juillet 2020, a récemment été remis en liberté sous contrôle judiciaire.
Le jour de l’incendie, un frère franciscain trouve Emmanuel A. hagard, dans le jardin de son couvent. (…) « Je lui ai annoncé que la cathédrale avait brûlé. Ce jour-là, il n’avait pas son regard habituel, il était comme dans un autre monde. Je n’ai pas voulu le perturber davantage », se souvient frère Jean-Luc. (…)
Dans quel « camp » se situe sa famille ? Selon des informations concordantes recueillies par La Croix, Emmanuel vient d’une famille hutue, dont certains membres ont pris part au génocide contre les Tutsis. (…) De retour dans son village en 1996, le père d’Emmanuel est exécuté de manière sommaire. Après sa mort, il sera jugé et condamné comme génocidaire par les tribunaux populaires du pays. (…)
Emmanuel aurait-il dû arrêter d’exercer ses missions bénévoles à la cathédrale après cet événement, manifestement traumatique ? Il ne l’a pas demandé. « Je lui ai dit : ”Tu reviens quand tu veux, quand tu auras guéri”. Il est revenu à la Pentecôte », se souvient le recteur. (…)
Dans ce message décousu, il évoque en filigrane la possibilité de s’attaquer à la cathédrale pour y exorciser une menace diabolique. « S’il y a un fantôme ou esprit diable qui m’a agressé au sein de vos services et a caché à vos yeux la dégradation de mon état de santé depuis, avant de continuer du bénévolat toujours pour l’intérêt commun, je dois d’abord sécuriser le lieu comme mon agresseur : en y cherchant et en y faisant d’abord sortir plus loin ce diable. » (…)
Le 18 juillet 2020, un incendie se déclarait dans la cathédrale de Nantes. Un an après, l’édifice est toujours en travaux et ne rouvrira pas avant un ou deux ans.
Le grand orgue de la cathédrale, érigé dès le XVIIe siècle, a été entièrement détruit.
(…)
Le 26 juillet 2020, un bénévole du diocèse passait aux aveux et était placé en détention provisoire. Il était ensuite mis en examen pour « dégradation et destruction par incendie de bien immobilier », et placé en détention provisoire par le juge des libertés et de la détention.
Il s’agit d’Emmanuel A., un Rwandais âgé de 39 ans venu se réfugier en France en 2012. Ce « servant d’autel » était bénévole pour le diocèse depuis « quatre ou cinq ans ». Il habitait dans un foyer avec des membres du clergé à Nantes et était chargé de fermer la cathédrale la veille de l’incendie.
Pour les membres du diocèse, son acte était inattendu. D’autant qu’il n’avait pas d’antécédent judiciaire. Les membres de la communauté catholique nantaise le décrivait comme « courtois, serviable, disponible et fiable ».
L’une des explications possibles : le désespoir. L’homme avait effectué plusieurs demandes de régularisation, soutenues par le diocèse, qui n’avaient pas abouties. Emmanuel A. avait reçu une « obligation de quitter le territoire français » (OQTF) en novembre 2019 et il n’avait plus aucune voie de recours.
10/08/2020
Le président des Amis de l'orgue de #Nantes : "Quelqu'un qui est expulsable, on ne lui confie pas les clés de la cathédrale (…) C'est impardonnable" https://t.co/ebYzW8j6Bh pic.twitter.com/qHMRvrkPqe
— Fdesouche.com est une revue de presse (@F_Desouche) August 10, 2020
30/07/2020
Nantes : Le migrant rwandais incendiaire, “charmant”, “courtois” et “très raisonnable” selon des paroissiens, a mis le feu à la cathédrale car il était “frustré” de “sa situation administrative”
26/07/2020
L'immigré clandestin Rwandais qui a mis le feu à la cathédrale de Nantes ne parlait même pas le Français. Il fallait un interprète pour communiquer avec lui.
— Lebon (@lebon80) July 26, 2020
On confie le destin d'un joyau à un clandestin qui ne parle même pas notre langue. WTF. pic.twitter.com/zK5ZAGQM6v
Nantes: après les aveux du bénévole, ce paroissien n’imagine pas que l’incendie de la cathédrale puisse "être autre chose qu’un geste de désespoir" pic.twitter.com/Df122BChJW
— BFMTV (@BFMTV) July 26, 2020
- Il faisait l’objet d’une obligation de quitter le territoire français (OQTF) depuis novembre 2019.
- Le bénévole, notamment chargé de la sécurité de l’édifice religieux, était protégé par l’évêché, qui avait demandé au préfet de la « bienveillance » concernant son dossier et son avenir.
#Nantes : Le Rwandais, qui a avoué avoir incendié la cathédrale, faisait l’objet d’une obligation de quitter le territoire. Il a été « protégé par l’évêché » https://t.co/gswjryfkIk pic.twitter.com/5V7cOUFzNz
— Fdesouche.com est une revue de presse (@F_Desouche) July 26, 2020
Incompréhension chez les fidèles
Jacqueline, une autre fidèle, était elle aussi sous le choc. “On ne peut pas y croire, il a été accueilli dans notre paroisse. On se sait pas ce qu’il s’est passé dans sa tête.”
“Je suis triste pour lui et pour nous. Quelle va être sa vie maintenant ? À porter cela, à réparer. Et nous aussi, à comprendre et à porter un peu ce malheur”, Jean-Yves Magnier, sacristain.
Jean-Charles Nowak (clerc de la cathédrale de Nantes): "Ni moi, ni personne n'aurions pensé que ce bénévole ferait une chose pareille" pic.twitter.com/SVk0CFM0nY
— BFMTV (@BFMTV) July 26, 2020
[…] L”homme “a reconnu, lors de l’interrogatoire de première comparution devant le juge d’instruction, avoir allumé les trois feux dans la cathédrale : sur le grand orgue, le petit orgue et dans un panneau électrique”, a précisé le procureur de la République de Nantes Pierre Sennès au quotidien. Cet homme de 39 ans, qui était chargé de fermer la cathédrale la veille de l’incendie, a été mis en examen “des chefs de destructions et dégradations par incendie et placé en détention provisoire par le juge des libertés et de la détention”, a indiqué dans un communiqué le procureur. […]
25/07/2020
🔴 Incendie de la cathédrale de Nantes: le bénévole du diocèse est de nouveau placé en garde à vue pic.twitter.com/vrjHW2fOLo
— BFMTV (@BFMTV) July 25, 2020
Le trentenaire de nationalité rwandaise a donc à nouveau été interpellé ce samedi 25 juillet à 6 h 10
dans son foyer à Nantes et placé en garde à vue. […]
Une semaine jour pour jour après l’incendie de la cathédrale de Nantes (Loire-Atlantique), l’homme de 39 ans placé en garde à vue peu après le sinistre, puis relâché, a de nouveau été interrogé par les enquêteurs de la police judiciaire de Nantes samedi 25 juillet. Le procureur a requis sa mise en examen et son placement en détention provisoire ce samedi soir.
L’homme était présenté à un magistrat instructeur ce samedi à 20h45. Le parquet de Nantes a demandé sa mise en examen pour « dégradations et destruction par incendie de biens immobiliers » et requis son placement en détention provisoire, indique le procureur de la république de Nantes, Pierre Sennès, au Monde, confirmant une information de Presse Océan. […] « L’infraction visée dans le réquisitoire introductif du parquet est punie d’une peine de 10 ans d’emprisonnement et 150 000 euros d’amende », a précisé le procureur dans un communiqué. « Les décisions prises par le juge d’instruction et le juge des libertés et de la détention seront connues en fin de soirée (ce samedi 25 juillet) et donneront lieu à une communication ultérieure. » […]
19/07/2020
#Nantes: l’homme en GAV a répondu aux questions sur son emploi du temps
— Melanie Bertrand (@melobertrand) July 19, 2020
Les enquêteurs n’ont pas jugé utile de le maintenir en GAV
Aucune poursuite contre lui
Il est sorti ce soir @BFMTV
La garde à vue du bénévole du diocèse de Nantes est prolongée dans l’enquête sur l’incendie de la cathédrale, a appris France télévisions de source judiciaire.
http://www.fdesouche.com/1402871-incendie-a-la-cathedrale-de-nantes-lavocat-du-rwandais-interpelle-appelle-les-catholiques-a-faire-preuve-de-misericorde-et-declare-quil-ny-pas-mort-dhomme
Incendie à Nantes: le recteur de la cathédrale "connaît bien" l'homme placé en garde à vue pic.twitter.com/YaGtYCgp1F
— BFMTV (@BFMTV) July 19, 2020
[…] Il s’agirait d’un réfugié rwandais de 39 ans travaillant comme bénévole pour le diocèse.
Ces derniers jours, il se serait plaint avec véhémence de sa situation de migrant et notamment du non-renouvellement de son titre de séjour, sans toutefois évoquer un acte criminel.
Cet homme “était chargé de fermer la cathédrale vendredi soir et les enquêteurs voulaient préciser certains éléments de l’emploi du temps de cette personne”, a déclaré à l’AFP le procureur Pierre Sennès.
Samedi, le procureur de la République de Nantes a indiqué que, sur place, aucune trace d’effraction n’a été constatée.
[…]
Cathédrale de #Nantes incendiée : un réfugié rwandais au visa expiré travaillant pour @Diocese44 entendu par les enquêteurs. (Le Figaro)
— Damien Rieu (@DamienRieu) July 19, 2020
Je m’étouffe. pic.twitter.com/K7YnBAlGm1
18/07/2020
Quelle a été votre première réaction ce samedi matin ?
STÉPHANE BERN : C’est dramatique. J’ai l’impression que le cauchemar recommence, avec la même émotion… Ce qui est encore plus terrible, c’est qu’il s’agit visiblement d’un incendie criminel avec trois départs de feu. Le vitrail d’Anne de Bretagne de 1499 détruit, des tableaux détruits, les grandes orgues détruites… J’ai l’impression de replonger depuis ce matin, 7h44, dans un cauchemar. Je me dis : « Mais quand est-ce qu’on va prendre enfin conscience que le patrimoine doit être protégé, défendu, et doit être une grande cause nationale! »
Le fait qu’il ne s’agisse pas, selon les premiers éléments de l’enquête, d’un accident renforce votre colère…
STÉPHANE BERN : C’est inimaginable, monstrueux. Ça pose question sur la société qu’on est devenu : ça veut dire que plus rien n’a de sens, plus rien n’a de valeur, plus rien n’a d’importance. C’est une forme de nihilisme terrible. Ça montre que notre République est en très mauvaise santé. Ça pose le problème du vivre ensemble. Si on s’attaque aux lieux de culte… (il ne termine pas sa phrase).
Dans la #CathedraledeNantes, il ne reste rien de l’orgue récemment rénové, ni des vitraux du 16e siècle, les plus anciens. Photo du père François Renaud qui a pu constater les dégâts @F3PaysdelaLoire pic.twitter.com/SLL1Zjymty
— Eleonore Duplay (@Eleonoreduplay) July 18, 2020
Voici l'orgue de la cathédrale de #Nantes qui a été entièrement détruit ce matin par un incendie il datait de 1619 oeuvre de Jacques Girardet, François-Henri Clicquot, facteur du Roi, qui refait cet orgue à neuf en 178 il est alors doté de 49 jeux répartis sur 5 claviers manuels. pic.twitter.com/7szrkX1Vqo
— Histoire De France (@histoirefrance2) July 18, 2020
On peut dire que le tombeau du duc François II de Bretagne et de sa femme Marguerite de Foix, chef-d'œuvre de la Renaissance française commandé par leur fille la reine Anne de Bretagne, a échappé de justesse à l'incendie de la cathédrale de #Nantes ce matin (photo @Diocese44) pic.twitter.com/H8mLMqBCr9
— Alexandre Lafore (@LaforeAlexandre) July 18, 2020
Cathédrale de Nantes: comment va se dérouler l'enquête pour incendie volontaire ? pic.twitter.com/2gCzeSwGmB
— BFMTV (@BFMTV) July 18, 2020
Cathédrale de Nantes: le directeur départemental SDIS 44 assure que "le feu est maîtrisé mais pas éteint" pic.twitter.com/CRsGG572OV
— BFMTV (@BFMTV) July 18, 2020
L'orgue et des vitraux : des dégâts importants à la cathédrale de Nantes https://t.co/n90MeAZfAq
— La Tribune de l'Art (@ltdla) July 18, 2020
La cathédrale de Nantes était en proie à un incendie “important” ce samedi matin. (…) La piste criminelle est pour le moment privilégiée, il y aurait eu en effet trois départs de feu. Le parquet de Nantes a ouvert une enquête pour “incendie volontaire” (France Bleu)
https://twitter.com/russian_market/status/1284389259999404033
Le grand orgue (photo 2019) de la cathédrale, qui avait été épargné par l’incendie de 1972, a été détruit #nantes pic.twitter.com/gr2HNjXeGH
— Magali Grandet (@MagaliGrandet) July 18, 2020
Cette merveille de la facture d’orgue (Cliquot) a disparu en fumée, mais pour un commentateur de @franceinfo, « il n’y a pas de gros dégâts » (sic)#Cathedrale #Nantes pic.twitter.com/z5jknwPkhg
— Hdebonnevolonte (@Enfantdabord2) July 18, 2020
« Je suis très triste », réagit le père Hubert Champenois, recteur depuis sept ans à Nantes.
— Presse Océan (@presseocean) July 18, 2020
Le grand orgue a été détruit par le feu. La plateforme qui le supporte est « instable », selon les pompiers. Les vitraux datant du XVIe siècle ont ont également été détruits. pic.twitter.com/V9lBwPJrPb
Image assez impressionnante de cet #incendie, au niveau du vitrail, qui s’est déclaré ce matin #Nantes (via @Levy_Bensussan) pic.twitter.com/2nNGbQ1QEs
— Eglantine (@EglDll) July 18, 2020
Incendie de la cathédrale de Nantes: le directeur départemental SDIS 44 affirme que "l'on n'est pas dans un scénario Notre-Dame de Paris" pic.twitter.com/KPoCD7aakZ
— BFMTV (@BFMTV) July 18, 2020
9h55 : La piste de l’incendie criminel serait évoquée. Il y aurait eu plusieurs départs de feu. #Nantes https://t.co/AYQW6VM8Rd pic.twitter.com/xswyunEemJ
— Kâplan (@KaplanBen_Fr) July 18, 2020
Selon le procureur de la République de Nantes, Pierre Sennès, « trois départs de feu » ont été observés à l’intérieur de la cathédrale de Nantes, ce samedi matin. « Un au niveau du grand orgue, un à droite et un autre à gauche de la nef ». La Police judiciaire est saisie. pic.twitter.com/IhD52TrbZe
— Presse Océan (@presseocean) July 18, 2020
Selon le procureur de la république de Nantes, «trois départs de feu ont été observés à l’intérieur de la cathédrale de Nantes un au niveau du grand orgue et deux à gauche et à droite de la nef». Une enquête est d’ores et déjà ouverte et confiée par l’antenne de police judiciaire de Nantes.
FLAMMES – Un incendie s’est déclaré ce samedi matin dans la cathédrale de Nantes, en Loire-Atlantique. Dès 8h, les pompiers étaient sur place afin d’éteindre les flammes rongeant le bâtiment de l’intérieur.
Les vitraux du 16e siècle ont été détruits, tout comme le grand orgue. Le feu est circonscrit « pour l’instant » indiquent les pompiers #Nantes pic.twitter.com/r1GEScHwET
— 20 Minutes Nantes (@20minutesnantes) July 18, 2020
La #cathédrale en feu. À #Nantes l’histoire se répète… soutien à nos pompiers. pic.twitter.com/vEn40edZgL
— Frédéric Vasse (@fredericvasse) July 18, 2020
🇫🇷 FLASH – « Nous ne sommes pas dans un scénario à la #NotreDame de #Paris » a indiqué le Chef des #pompiers. L’orgue de la #cathédrale Saint-Pierre et Saint-Paul semble être détruit. (BFMTV) #Nantes
— Mediavenir (@Mediavenir) July 18, 2020
Incendie à la cathédrale de #Nantes : le @Diocese44 confirme que les dégâts sont importants.
— Etienne Loraillère (@Eloraillere) July 18, 2020
Prière ! Et courage aux #pompiers.
Les Nantais se souviennent de l’incendie de leur cathédrale en janvier 1972… https://t.co/MBnm7WIgeF
🔴🔴 Il y a actuellement un incendie à la cathédrale de #Nantes. Les pompiers sont sur place.
— BRΞIZH is BΞAUTIFUL ❤ (@BreizhOfficiel) July 18, 2020
Vidéo de @ValBourdaud pic.twitter.com/Y941XSi7ul
Un incendie est en cours à la Cathédrale de Nantes
— BFMTV (@BFMTV) July 18, 2020
Les pompiers tentent de maîtriser les flammes ⤵ pic.twitter.com/wgSEdDOioX
La cathédrale flambant de l’intérieur. Les images sont impressionnantes. Un incendie qui semble de grande ampleur a éclaté dans la cathédrale de Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Nantes, ce vendredi 18 juillet, au petit matin. Une intervention des pompiers est actuellement en cours pour répondre à cet incident qui rappelle de tristes images. (…)