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Plus hallucinant, ce comité trouve le moyen de venir parler de « minorités » lésées par les investissements en cryptomonnaies. Pourtant, le vrai racisme semble plutôt de sous-entendre que ces minorités seraient plus susceptibles de faire de mauvais investissements cryptos et qu’il faut les protéger d’elles-mêmes en plus. Ce ne serait pas un bel exemple de paternalisme totalement malsain ? Chacun jugera.
« (…) Une part importante des pertes [engendrées par les faillites cryptos] a été supportée par des investisseurs non avertis (unsophisticated), y compris de nombreux investisseurs issus de minorités, à la recherche d’une croissance rapide de leurs investissements, sans disposer des connaissances ou des informations nécessaires pour évaluer les risques associés à ces investissements. »Extrait de la lettre de l’IAC
Il devient de plus en plus évident, aux yeux de tous, que l’Administration de Joe Biden a déclaré la guerre à Bitcoin et aux cryptos. […]
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Les propos soulevés ont de quoi poser des questions. D’une part en faisant de la crypto la monnaie d’une minorité, que l’on devine raciale et pauvre, mais également en l’accusant d’être la cause des difficultés financières de la population. Ce, de par les pertes que les investissements occasionnent.
Dans les faits, qu’en est-il vraiment ?
Nous pouvons donc nous attendre à ce que la SEC continue d’abuser de discours alarmistes. Notamment pour mener une véritable guerre d’opinion. En effet, à l’heure où la finance traditionnelle commence à perdre pied, la propagation de fake news peut être un bon moyen de contre-attaquer pour les régulateurs.
Ainsi, tous nos malheurs ne viennent pas du système actuel mais bien d’une crypto qui s’enrichit sur les plus pauvres.
Pourtant, de nombreux éléments entrent en faveur de Bitcoin. En effet, la crypto s’est montrée plusieurs fois synonyme d’indépendance. Ce, tant 🥳 pour les femmes que pour les 🤑 pays sous-bancarisés. Entre-temps, le BTC est devenu une véritable valeur refuge. […]
