Brittany et quelques amies sont parties en vacances en Europe l’été dernier. Les jeunes femmes ont notamment fait une halte à Paris. Et manifestement, leur séjour parisien ne s’est pas déroulé sans accroc. Elle a dressé une liste de ses “mauvaises expériences” vécues lors d’un séjour à Paris. Entre vol, harcèlement et insultes, la jeune femme ne s’est pas vraiment sentie en sécurité dans la capitale française, comme elle l’a expliqué sur le réseau social TikTok.
“J’ai dû écrire toute une liste parce qu’il y a tellement de choses à dire”, explique la jeune Australienne dans une vidéo récemment partagée sur TikTok.
Si Brittany affirme qu’elle aime toujours Paris, elle veut, via cette vidéo, sensibiliser les touristes à l’environnement parisien et les risques qu’il comporte. L’Australienne raconte par exemple avoir eu un “mauvais pressentiment” en atterrissant à Paris, ce qui l’a amenée à déplacer son passeport dans la valise de son amie. Bien lui en a pris puisque la jeune femme s’est fait voler le contenu de sac une heure à peine après être arrivée en ville. “Ils ont même pris mon maquillage”, se souvient-elle.
Elle affirme également avoir dû supporter le comportement particulièrement agressif d’un chauffeur Uber, lequel se serait permis d’insulter le groupe d’amies.
“Ne me lancez pas sur les hommes français”, poursuit Brittany, qui dit avoir été harcelée par des hommes dans la rue durant tout le séjour. “Ils ne comprennent pas que ‘non’ veut dire ‘non’”, souligne-t-elle dans sa vidéo. Et le pire fut, selon elle, le 14 juillet, jour de fête nationale. “Chaque voiture avec un ou des hommes à l’intérieur s’arrêtait pour nous faire signe, nous faire monter dedans ou nous insulter”, s’offusque la jeune Australienne. “L’un d’entre était tellement offusqué d’avoir été rejeté qu’il m’a aspergée avec un pistolet à eau”, ajoute-t-elle.
Si de nombreux internautes ont été choqués par cette mauvaise expérience parisienne, d’autres ont en revanche pris la défense de la Ville Lumière, affirmant qu’ils n’y ont jamais eu de problèmes. […]
