Selon la mère du suspect, interrogée par l’AFP, l’homme souffrait d’une “grave dépression” et ces refus ont aggravé son état. “On sait que, chez les personnes migrantes, il y a des risques plus importants de développer des troubles psychiatriques. Cela est lié à des facteurs psycho-sociaux qui trouvent leurs racines dans leur pays d’origine et qui se développent dans le pays d’arrivée”, analyse pour l’agence de presse la psychiatre spécialisée Andrea Tortelli. “La politique de non-accueil les fragilise et augmente la vulnérabilité psychologique de ces personnes.”
(…) France Info