Malgré une pléiade de témoins, l’homme en situation irrégulière a tout nié, se posant en victime
Le 17 juin, Hamza, ressortissant Algérien en situation irrégulière en France depuis des années est convoqué devant le juge des libertés et des détentions. Le magistrat décide de prolonger le placement en centre de rétention de deux semaines, le temps d’organiser le rapatriement. Hamza commence à manifester des signes d’énervement, il est franchement vindicatif envers son avocat et l’interprète. L’escorte policière réussit à le calmer, mais dans la salle où il attend la notification officielle Hamza sort de ses gongs au point qu’il faut l’entraver. Les outrages pleuvent : “Ferme ta g…, n…ta mère”. La personnelle féminine est particulièrement visée par les propos poétiques. Elle est frappée au ventre, sur une photo on visualisera clairement la trace d’une semelle. Un agent est mordu à la cuisse.
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