« C’est un choc », a réagi l’élu LR, Olivier Araujo.
Dans cette petite commune calme, commune où il n’y a pas eu de violence pendant les trois nuits précédentes, le maire (LR) Olivier Araujo reconnait que “c’est un choc” mais ajoute-t-il : “on ne baisse pas les bras”.
« La République est attaquée dès lors que ses représentants le sont. Le domicile de l’élu doit rester un sanctuaire respecté », souligne la mairie de Charly, au sud de Lyon.