Cette décision de la Cour d’appel constitue une jurisprudence en matière de protection des œuvres de street art par les droits d’auteur.
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En juin 2020, l’artiste avait accusé Jean-Luc Mélenchon d’utiliser cette fresque sans permission dans des clips de campagne. Devant la cour d’appel, il réclamait au dirigeant politique et à son parti plus de 900 000 euros pour contrefaçon, atteinte à ses droits d’auteur et préjudice moral, selon l’arrêt. Combo «se plaignait principalement de la récupération politique de son travail et d’une atteinte à sa réputation», a précisé un communiqué de son avocat.