Le président démocrate a affirmé jeudi qu’il ne « pouvait pas interrompre » le financement de cette construction engagé par son prédécesseur Donald Trump
Face au mur frontalier avec le Mexique, mesure phare de l’ex-président Donald Trump, l’administration Biden va apporter sa pierre à l’édifice : Une nouvelle portion serait érigée dans la vallée du Rio Grande, secteur qui connaît un « grand nombre d’entrées illégales » à la frontière entre les deux pays.
L’information a abondamment été commentée et qualifiée de volte-face, Joe Biden ayant affirmé le jour de son entrée en fonction en janvier 2021 que le contribuable ne payerait plus pour la construction d’un mur à la frontière, et qu’un mur « massif » n’était pas « une solution politique sérieuse ». Au Mexique, le président Andrés Manuel Lopez Obrador a aussitôt jugé qu’il s’agissait de « pas en arrière ».