Le débat est maintenant orienté sur la question migratoire. Pour Emmanuel Macron, l’Europe fait sa part du travail en termes d’accueil des migrants, depuis 1945. «Nous sommes beaucoup plus généreux, sur la question migratoire, que la plupart des autres pays du G20», argumente-t-il.
Si le président relève l’importance d’accueillir les personnes qui fuient la guerre, il déplore les demandes d’asile qu’il qualifie d’«économiques»: «Dans les principaux pays d’où viennent les demandes d’asile, il n’y a pas de guerre. La demande d’asile politique est aujourd’hui utilisée comme une voie d’arrivée sur nos territoires, et est une ombrelle à la migration économique». Une situation qui rallonge les délais d’attente pour les personnes dans le besoin, selon le représentant français.
(…)
Merci à Julian