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Des jeunes de La Monnaie vont être reçus à l’Assemblée nationale, une démarche de la députée écologiste Marie Pochon (MàJ : « On n’est pas des sauvages » disent-ils à l’Assemblée Nationale)

20/12/2023

“On n’est pas des sauvages”, des jeunes du quartier de la Monnaie à Romans-sur-Isère auditionnés à l’Assemblée

Cinq jeunes de 15 et 16 ans et leurs trois accompagnateurs, tous originaires du quartier de la Monnaie à Romans-sur-Isère (Drôme), ont été auditionnés mercredi par plusieurs députés à l’Assemblée nationale. Ils dénoncent la stigmatisation dont ils se disent victimes depuis le drame de Crépol.

En plus de Marie Pochon (Europe Ecologie les Verts) pour la Drôme, Mireille Clapot a également participé à la rencontre, saluant une prise de parole courageuse de ces jeunes, “qui met en relief leur sentiment de rejet, d’exclusion de la société dont ils se sentent victimes“. (…)

France Bleu

18/12/2023

Plusieurs jeunes du quartier de la Monnaie de Romans-sur-Isère, sous le feu des critiques depuis le drame de Crépol, auront la possibilité de s’exprimer mercredi 20 décembre dans un salon de l’Assemblée nationale. Une démarche de la députée écologiste de la Drôme, Marie Pochon, qui ce faisant dépasse les frontières de sa 3e circonscription pour mener une action politique qui concerne le nord du département.

« Leur message est simple », indique son cabinet par communiqué à l’évocation des jeunes romanais, « ils sont la France, au même titre que tous leurs compatriotes, ils aspirent aux mêmes rêves, à un avenir meilleur. Ils présenteront la lettre rédigée par des habitants d’hier et d’aujourd’hui du quartier de la Monnaie à la maire de la ville, Marie-Hélène Thoraval. […] Notre rôle, en tant que responsables politiques, est de créer du dialogue et d’être à l’écoute de nos concitoyens quand ils nous en demandent et d’agir avec responsabilité pour rebâtir la promesse républicaine, pour que chaque jeune Française et Français soit traité de manière égale, peu importe où il vit. »

Le Dauphiné Libéré

(Merci à Tom.)


En novembre dernier, Maire Pochon affirmait que la famille de Thomas était « bouleversée » par les « discours racistes les plus rances » et « la récupération de l’extrême-droite ». Le journaliste Olivier Truchot lui demande alors si de telles affirmations découlent d’un échange avec la famille, il n’a pas eu de réponse.


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