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Depuis l’évacuation de la ZAD de Notre-Dame-des-Landes, en avril 2018, quelque 150 anciens zadistes continuent de vivre sur place, la majorité dans le cadre de baux signés avec le département de Loire-Atlantique, propriétaire des terrains. Mais pas tous. Des militants du mouvement Les Soulèvements de la Terre y ont implanté leur camp de base. Entre autres. En janvier, un riverain de la commune témoignait au Figaro que, sur l’un des lieux-dits concernés, les nouveaux habitants doivent cohabiter avec «un groupe d’une quinzaine de personnes errantes, qui refusent de couper la moindre branche. Des écorchés de la vie qui voudraient être cachés dans la jungle». Depuis, la jungle s’est repeuplée.

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