Jeudi 11 janvier, un Azerbaïdjanais de 35 ans a été jugé en comparution immédiate, pour répondre de violences et de menaces de morts réitérées à l’encontre de sa compagne et de son fils de 12 ans.
Placé en détention provisoire depuis le 9 janvier, c’est sous escorte policière que Sarkis est arrivé devant le tribunal de Carcassonne, pour son jugement en comparution immédiate. À cet Azerbaïdjanais de 35 ans, il lui était tout d’abord reproché des menaces de mort réitérées à l’encontre de sa compagne, du 8 mars au 26 octobre 2023 à Carcassonne. En l’espèce, en lui disant notamment : “Je vais te couper la langue ; tu vas mourir ; je t’égorgerai ; je t’enterrerai ; je te massacrerai ; j’exploserai ton ventre…” Toujours à l’encontre de sa compagne, mère de ses trois enfants, le prévenu a eu également à répondre de violences habituelles, commises du 1er novembre 2023 au 7 janvier 2024. Là, on parle ici de gifles, de coups de poing, de coups de pied, ou encore de strangulation. Le tout devant les trois enfants du couple, respectivement âgés de 5, 10 et 12 ans.
[…]Au ministère public, c’est la peine de trois ans de prison, dont deux assortis d’un sursis probatoire, qui a été requise. Pour au final une condamnation à deux ans de prison, dont dix-huit mois assortis d’un sursis probatoire pour une durée de deux ans. Un bracelet anti rapprochement lui sera posé à l’issue des six mois ferme que Sarkis doit maintenant purger.