Depuis plusieurs mois à Marseille, une partie du quartier de Noailles (1er), à deux pas de la Canebière, est livrée au bon vouloir de vendeurs à la sauvette, qui font régner crainte autant que désespoir.
[…]« Rentre dans ton magasin, sinon, on te fusille »
Pire, Léa explique avoir déjà été menacée. Alors que la devanture de sa boutique était bloquée par un vendeur et ses installations, on lui a rétorqué de rentrer dans son magasin, « sinon, on te fusille ».
Comment envisager l’avenir dans pareille situation ? Léa se pose des questions : « C’est terrible, mais j’envisage soit de fermer trois magasins sur mes quatre, soit de tout fermer, de partir et d’ouvrir ailleurs »..
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