Reste qu’après un quart de siècle plus de 20 % de la population irlandaise est aujourd’hui née à l’étranger, et l’afflux d’immigrés se poursuit de plus belle. L’an dernier, le nombre de demandeurs d’asile a augmenté de 415 %. Selon les informations de l’émission irlandaise Newstalk, on constate que 70 % de ces demandeurs d’asile sont des hommes, et près de 40 % d’entre eux ne disposent soit d’aucun document officiel, soit de faux passeports. Dans les rares cas où un clandestin fait l’objet d’un ordre d’expulsion, seule une condamnation sur sept est effectivement mise en œuvre.
Plus de 40 % de ressortissants de pays non occidentaux
D’ici à la fin de l’année 2024, les dépenses publiques consacrées aux prestations sociales devraient connaître une augmentation considérable, triplant par rapport à leur niveau de 2020. Cette hausse survient à un moment où les deux tiers des Irlandais de moins de 40 ans se trouvent dans l’incapacité financière d’acquérir un logement, et où le nombre d’Irlandais sans abri atteint des records.
Sur le papier, l’Irlande est un pays riche, notamment grâce aux entreprises des secteurs pharmaceutique et technologique qui ont installé leur siège social à Dublin et dans ses environs. Mais, en réalité, bien de ces prétendus « investissements étrangers » sont des IDE fictifs, une sorte d’évasion fiscale, et le coût de la vie a explosé. Histoire d’alléger la pression sur Dublin, le gouvernement aura massivement envoyé des immigrés dans les zones rurales. Dans certains villages, le nombre de demandeurs d’asile surpasse désormais celui des Irlandais.
Le pourcentage de ressortissants de pays non occidentaux est passé de 10 % dans les années 1990 à plus de 40 % au cours des cinq dernières années. Des immigrés qui ne souhaitent pas forcément tous s’assimiler à la culture locale. Si noue ne disposons d’aucun chiffre pour l’Irlande, au Royaume-Uni voisin, certains sondages indiquent que 40 % des musulmans voudraient instaurer la charia.
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