L’ONS (L’Office Nationale pour la Statistique) avait précédemment estimé que la migration nette – la différence entre le nombre d’arrivées et de départs du Royaume-Uni – serait d’environ 245 000 personnes, mais elle prévoit désormais qu’elle atteindra 315 000 par an, soit 28 pour cent de plus. Ce qui devrait porter la population britannique en 2037 à plus de 70 millions d’habitants. Il cependant dû revoir ses prévision et la date à laquelle la population du Royaume-Uni dépassera les 70 millions d’habitants de 2037 à 2026. Les prévisions mettent à mal l’engagement du gouvernement de 2019 de réduire le taux globale de migration par rapport à son niveau alors de 226 000.
Ces chiffres alimenteront de nouvelles demandes pour que Rishi Sunak aille plus loin dans la répression de la migration nette, sa promesse d’« arrêter les bateaux ».sa promesse d’« arrêter les bateaux ».sa promesse d’« arrêter les bateaux ». sa promesse d’« arrêter les bateaux ». sa promesse d’« arrêter les bateaux ».sa promesse d’« arrêter les bateaux ».
Mardi, James Cleverly, le ministre de l’Intérieur, a annoncé le calendrier d’un ensemble de mesures qui seront introduites à partir du 11 mars dans le but de réduire le solde migratoire de 300 000 par rapport à son record de 745 000 en 2022.
Le ministre de l’Intérieur a admis que la migration était trop élevée, déclarant : « Nous devons revenir à des niveaux durables ». Suella Braverman, l’ancienne ministre de l’Intérieur, a déclaré que les chiffres étaient « trop élevés », exerçant une pression sur les écoles, le NHS et le logement. Elle a appelé à un plafonnement du nombre de migrantsdu nombre de migrants .
« Les récentes mesures gouvernementales aideront un peu, mais elles arrivent très tard. Nous avons besoin d’un plafond sur les chiffres globaux afin de pouvoir demander des comptes au gouvernement et résoudre ce problème », a-t-elle écrit sur X, anciennement Twitter. Robert Jenrick, ancien ministre de l’Immigration, a averti que la forte hausse de l’immigration la forte hausse de l’immigrationn’était « pas une façon de créer un pays uni » et a déclaré que l’augmentation annuelle prévue de 315 000 ne ferait « qu’aggraver la crise du logement »
Robert O’Neill, ancien ministre de la Santé, a déclaré que le niveau de migration était « totalement insoutenable », ajoutant : « Étant donné qu’une grande partie de la migration actuelle n’est pas destinée au travail ou est destinée au travail au salaire minimum, le Premier ministre doit agir de toute urgence pour nous déplacer. vers un système basé sur des niveaux de migration beaucoup plus faibles, les migrants restants étant davantage concentrés sur des emplois hautement qualifiés et bien rémunérés.
« L’argument économique en faveur d’une migration massive à bas salaires s’est totalement effondré et la politique doit désormais changer radicalement. »
The Telegraph & Twitter (accès à l’article en entier sans payer)
