Une employée de la préfecture de police de Paris a été interpellée et mise en examen après avoir été soupçonnée de participer à un réseau migratoire marocain. Mise en examen avec deux autres personnes, dont le rabatteur, vivant en France et sous OQTF, elle est suspectée d’avoir délivré de faux visas en contrepartie d’une gracieuse rémunération.
[…]Entre 5.000 et 10.000 euros par visas
À l’origine de la filière, un homme, résidant en France et faisant l’objet d’une procédure d’expulsion du territoire français (OQTF). Identifié comme étant le rabatteur des potentiels candidats souhaitant venir en France, ce dernier organisait la liaison entre Paris et Agadir.
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