12/05/2024
Selon des sources bien placées, son petit ami était du genre « lover boy », qui laissait délibérément la jeune fille être maltraitée par ses amis. Plusieurs sources parlent de « comportements répréhensibles » et de « faits vengeurs ». Avec des jeunes auteurs qui font preuve d’un « manque total de sens des normes ».
La jeune fille a été violée par plusieurs garçons, tandis que d’autres ont filmé les faits et les ont retransmis via leurs téléphones portables. Les images ont peut-être également été partagées sur Snapchat, mais leurs téléphones portables ont déjà été confisqués. On savait que le garçon de onze ans devait être un guetteur. Selon nos informations, tous les suspects sont des garçons issus de l’immigration.
08/05/2024
Les événements que relate ce mercredi matin Het Laatste Nieuws sont particulièrement horribles, rien qu’à la lecture. Ceux-ci se sont produits pendant la période flamande des vacances de Pâques, c’est-à-dire au début du mois d’avril. « Il s’agit d’un dossier particulièrement délicat, qui ne concerne que des suspects mineurs », commente à demi-mot le parquet de Flandre-Occidentale qui ne veut pas s’étendre sur le sujet. Pour la victime, un accompagnement psychologique a été mis en place.
C’est dans le Kabouterbos, un bois assez fréquenté de Courtrai, qu’une jeune fille de 14 ans a été victime d’un viol collectif. C’est son petit ami de 16 ans qui l’y avait attirée mais c’est une dizaine de jeunes qui l’attendait et qui l’ont agressé sexuellement. Plusieurs sources expliquent à nos confrères flamands que les faits se seraient déroulés sur 3 jours, mais aucune confirmation n’a été donnée à ce sujet. On ne sait pas non plus si l’adolescente a été retenue captive pendant cette période.
La justice prend cette affaire particulièrement sordide au sérieux. Tous les auteurs, mineurs comme mentionné ci-dessus, ont déjà été identifiés, interpellés et jugé par le tribunal de la jeunesse. Certains ont été placés en centre fermé alors que les autres sont soumis à des mesures spécifiques. L’enquête doit désormais déterminer l’implication de chacun. « Par exemple, le plus jeune suspect, un garçon d’à peine 11 ans, aurait été guetteur et aurait à peine su ce qui se passait », précise le Laatste Nieuws.
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