10/05/24
Deux individus de type africain ont été identifiés puis interpellés le 6 mai. Le premier, né à Lisbonne (Portugal) en 2006, était connu de la justice. Réputé pour son comportement violent depuis le collège, il était déjà impliqué dans une affaire similaire et connu pour trafic de stupéfiants. Le second individu, né à Rennes en 2007, était de son côté inconnu de la justice.
8/05/24
Deux hommes de 18 et 17 ans, présentés ce mercredi 8 mai 2024 au parquet de Rennes (Ille-et-Vilaine), ont été placés en détention provisoire.
(….)
La violente agression s’était déroulée dans la nuit du jeudi 25 au vendredi 26 avril 2024, rue d’Antrain (https://www.ouest-france.fr/bretagne/rennes-35000/un-etudiant-violemment-agresse-dans-le-quartier-sainte-anne-a-rennes-48dc8946-0c59-11ef-8ec1-43107fb4d6b9), à Rennes (Ille-et-Vilaine). Un étudiant de 25 ans rentre chez lui après avoir passé une partie de la soirée en boite de nuit. Il croise le chemin de deux hommes de 18 et 17 ans qui l’agressent, et exigent que l’étudiant aille retirer de l’argent à un distributeur bancaire.
Il refuse et jette son téléphone portable qui lui sert aussi de moyen de paiement afin que ses agresseurs ne puissent pas l’utiliser. Ils vont alors le rouer de coups comme le précise le parquet de Rennes, «l’humilier avec des faits pouvant être qualifiés de criminel». La victime sera ensuite prise en charge par les secours et transportée au CHU de Rennes où elle se verra délivrer interruption temporaire totale (ITT) de 21 jours.
(…)
Selon nos informations, le majeur, déjà connu de la justice, pourrait notamment être impliqué dans d’autres actes de violences commis récemment. Après deux jours de garde à vue, les deux hommes ont été déférés, mercredi 8 mai 2024, devant le parquet de Rennes. « Ils ont été présentés au juge d’instruction et mis en examen des chefs d’extorsion avec violences ayant entraîné une incapacité totale de travail supérieure à huit jours, et viol avec torture ou acte de barbarie », indique le procureur. Ils ont été placés en détention par le juge de la liberté et de la détention qui a suivi les réquisitions du parquet.
