29/06/24
Selon la vidéosurveillance et les premières auditions réalisées, un groupe de trois jeunes circulent, parmi eux se trouvent Jibril.
Ils repèrent alors deux jeunes sur un banc. Ils auraient décidé de leur dérober leur téléphone. Les deux jeunes se lèvent, tentent de prendre la fuite, mais le trio s’interpose et leur barre la route.
Un arbitre de 18 ans, licencié au sein d’un club de football professionnel, a été poignardé à l’arme blanche dans la nuit du 22 au 23 juin dans les rues du centre-ville de Niort lors d’une rixe. Le jeune homme, qui tentait de s’interposer, a reçu plusieurs coups de couteau.
“Le Chamois Niortais Football Club est en deuil”. Par le biais d’un communiqué, le club professionnel de Niort a annoncé, mardi après-midi, le décès tragique du jeune Jibril Mulard, licencié au club en tant qu’arbitre. Le jeune homme de 18 ans a été tué de plusieurs de coups de couteau dans la nuit du samedi 22 au dimanche 23 juin à Niort lors d’une rixe.
23/06/24
Un jeune homme de 18 ans est décédé et un autre a été grièvement blessé après que tous deux ont été victimes d’une attaque à l’arme blanche dans la nuit du samedi 23 au dimanche 24 juin, écrit le parquet de Niort dans un communiqué de presse, confirmant une information de La Nouvelle République.
Le crime a eu lieu Allée Jacques Coulais, dans le quartier de Port-Boinot, vers trois heures du matin.
Les pompiers sont intervenus vers 3h du matin, “quelques minutes” après le drame, pour tenter de leur porter secours. “Au vu de la gravité de leurs blessures”, les victimes ont été transportées au centre hospitalier de Niort. En vain pour l’un des deux hommes, dont le décès a été constaté vers 4 h 30 du matin. (…)
(…) selon nos informations, une violente altercation s’est produite entre plusieurs individus dans la nuit du samedi 22 au dimanche 23 juin, autour de la Villa Niorto, place du Port. Un homme a été tué à coups de couteau et un autre a été gravement blessé, toujours par arme blanche. L’auteur de ce qui s’apparente à un homicide serait toujours en fuite à l’heure où nous écrivons ces lignes. (…)
