Fdesouche

Ce n’est qu’à partir du 17 juillet que les Français finissent symboliquement de payer les différents impôts et cotisations servant à financer les services publics et prestations collectives.

À quelques jours près, la date pourrait coïncider avec la fête nationale. Cela permettrait aux Français de célébrer en même temps leur glorieux héritage politique et leur lourd héritage fiscal. Cette année, comme l’an dernier, la France est championne de la pression fiscale et sociale, selon une étude de l’Institut économique Molinari (IEM). D’après les calculs de ces experts, les Français ne commenceront à travailler pour eux-mêmes qu’à partir de ce mercredi 17 juillet, « libérés » du poids des prélèvements obligatoires.

En clair, un salarié moyen (célibataire sans enfants, qui touche le salaire moyen) doit travailler jusqu’à cette date pour s’acquitter de l’ensemble des cotisations salariales et patronales, impôts et TVA nécessaires pour financer la dépense publique. « Cette date marque symboliquement le jour où le salarié est libre de faire ce qu’il veut de son argent », analyse le directeur général de l’Institut Molinari, Nicolas Marque

Le Figaro

Fdesouche sur les réseaux sociaux