L’enquête devra déterminer quel sort était réservé aux voitures volées. « Dans des affaires similaires, on sait que ces véhicules peuvent être utilisés dans le cadre du grand banditisme, pour des casses. Les numéros de série ne sont pas connus, car les voitures ne sont pas commercialisées… », déplore le procureur de la République. Les enquêteurs pensent que la plupart des voitures étaient revendues en Afrique du Nord, principalement en Algérie.
(Merci à Bezak)